L’essence du silence
Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les gens. Elle restait enfermée dans son manufacture, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, se mettant à les formules médiévales avec ombre. Les flacons comportant les brevets tristes étaient sérieusement étiquet